Fanfiction sombre.(By Zuren.)

Bonjour à vous, âmes sensibles s'abstenir cette fanfiction sera sombre. Elle relate l'histoire d'un démon qui vie parmi les humains comme un humains et qui va en payer le prix. Il va subir un vrai calvaire.^^

D'ailleurs si vous avez des conseils pour le faire souffrir n'hésitez pas.^^

Le titre actuel qui va peut-être changer c'est: Destruction. Mais je ne sais pas si un autre serait plus approprié faudrait voir ça.

Tiens ? Un nouveau ? ^^

Ta fanfic n'est toujours pas publiée ? Je te conseille de mettre le lien ! ^^

Amuse toi bien sur le forum ! ^^

Je la mettrai quand j'aurai fait le premier chapitre promis.^^

_Clade: Héhéhé, tu la "mettra" lol.

Pervers!

_Clade: Ben quoi?!


Oui je suis un peu schizophrène sur les bords aussi lol.

Ah, toi aussi tu es plusieurs toi?

Super, on est deux (enfin, physiquement parlant). Mais, j'ai Dark-Liibra, Light-Liibra et Liibra-qui-s'en-fout. C'est surtout les deux premières qui parlent beaucoup, mais on sait jamais vraiment trop laquelle est laquelle.

Et puis ta fanfic, on veut des infos! Fandom, rating, titre, et tout et tout!

Ah ! Si les psychopathes se rencontrent, vraiment, on va tous finir à l'asile ! ^^

Ben oui, on est toujours à cours de fic à lire... Ou pas ! ^^

Mais Vince, qui te dit qu'on y est pas déjà et qu'on est pas tous complétement fous, et que tout le monde que l'on croit réél n'est en fait que créé par notre esprit malade?


ha ha, tu doutes, là!

Et non, on est à court de BONNES fics à lire. (je viens d'en voir une, la première phrase que j'ai vue: "Je mourirais pour lui". Oui, du verbe mouririr)

Je mourirais pour toi, c'est la devise de Groland ! ^^

Si ce que tu dis est, vrai, Liibra, c'est que la raison réside dans la folie, et même la liberté réside dans la folie ! ^^

... sans commentaire.

Bon, je ne suis pas une accro du sombre, donc je ne peux pas te promettre de suivre jusqu'au bout, mais j'essaierai, Zuren.

Par contre, est-ce que tu pourrais juste indiquer ton nom dans le titre de ce topic, ou en tout cas quelque chose qui te qualifie, s'il te plait. C'est juste histoire de personnifier le topic, pour le trouver facilement. Parce que si le titre est trop général, on ne saura plus forcément à qui il correspond au bout d'un moment.

(Oui, Liibra, dans le tien y'a pas ton nom, mais en même temps, on sent bien que c'est toi... Quoi que. ça pourrait aussi être Vince... )

Ok merci à tous et à toutes mais je ne sais pas comment modifier le titre et y implémenter mon pseudo et si c'est faisable pour moi.^^

Le premier chapitre devrait paraître dans le courant de la semaine prochaine ou ce week end si je peux.^^

J'espère que ça vous plaira même aux plus sceptiques mais je vous avertis certaines scène sont violentes quand même donc...

Edite le tout premier post... Tu pourras y modifier le titre du topic ! ^^

Super Vince nous sauvera tous!

Comment ça Wyny, tu oses me comparer à cet ancêtre croulant?! Je rigole. Je t'aime Vince. Tu le sais. Non, poses le couteau. Voilàààà...Non, j'ai dit poseeeeeeeeeeeeeeeer Aaaargh...


Hem... Zuzu (prem's à lui donner un surnom pourri!) t'as pas répondu à mes questions!

Zuzu ? le pauvre xD quoi que tu me diras Renren c'est pas mieux hein xD
ahhh ? un autre schizo,cool c'est marrant moi j'ai des crises de violence, faut pas laisser trainé des livres de physiques ^^'
j'irais surment lire ^^même si le sombre n'est pas trop mon truc non plus et qu'en ce moment je suis un peu chargée xD, devoirs de vacances que j'ai toujours pas commencés,Liibra qui me donne du travail,les cours qui reprennent T_T

Allez, je poste l'introduction avec quelques détails.^^ (pour pas trop vous faire patienter.^^)


Je sais pas quand je terminerai le chapitre premier mais ça devrait prendre deux semaines à un mois tout dépend de mon temps libres. Suivant les cas je vous le passerai en morceau fragmentés ça dépend.^^

Donc voilà j'espère que ça va vous plaire et je vous promet que je lirai vos écrit quand j'en aurai le temps. Entre dessin, lecture, lycée et écriture...^^


DESTRUCTION : (titre à revoir.)


Pour mieux comprendre l’histoire vous trouverez plus d’infos sur le forum claymorefr et le claymore fansite.


Termes:

Yoki: Énergie démoniaque propre aux démons et aux hybrides mi-humains mi-démons. Elle a un impact sur leurs capacités, vitesse, résistance etc...

Claymore: Hybride, si elles dépassent leur limite (80% des pouvoirs libérés) elles deviennent des êtres éveillés mais il arrive que ce processus d'éveil qui le transforme en monstres parfois très puissants s'arrête.

Yoma: Démons mangeurs d'homme.

Berserker: Race de yoma créée par l'organisation.

Organisation: Groupe obscure qui tient à tout contrôler et en guerre contre une faction appelée les descendants des dragons.


Ce qui devrait être les génération 80.



Introduction:



Un soleil de plomb frappait un village perdu dans de lointaine contrées bien loin de l’organisation. Ils ignoraient tout des yomas, des claymores et de l’organisation. C’est au bord d’une rivière que tout commença. Une eau cristalline luisante et calme émettant une douce musique liquide parcourait son lit, imperturbable. Une jeune femme au ventre arrondi chantait en nettoyant son linge, une panière à côté d’elle. Très jeune et charmante, elle avait une douce voix qui rivalisait avec le chant de l’eau. Un couinement de bébé résonna. Elle cessa tout mouvements. Elle s’avança légèrement, tendant l’oreille, se pliant à genoux dans l’herbes verte et mœlleuse. Le petit cri de vie retentit de nouveau. Elle rangea son linge mouillé dans la panière.

Entendant ces pleurs, elle se releva sur ses deux jambes et mettant la main devant ses yeux comme pour voir plus loin. Un berceau était coincé dans un coin de la rivière. Hermétique, il ne coulait pas. La jeune femme se dirigea rapidement dans se direction. A mesure qu’elle approchait les détails se faisaient plus net, plus nombreux. Un panier, dedans des linceuls blancs, l’eau ruisselant à côté, faisant de petites vagues, puis des mouvements dans la soie fine et raffinée. La future mère à terme de grossesse se pencha péniblement, faiant attention à son ventre. Elle souleva délicatement la soie de sa fine main et découvrit avec étonnement le bébé pleurant dans le panier.

Des yeux jaunes brûlants de vie, des cheveux blancs soyeux, un petit corps de bébé ordinaire, une peau marron foncé, des ongles un peu épais et blancs, il débordait de vitalité. D’abord effrayé par cette créature inconnue, la jeune femme prit sur elle-même et tendait les bras pour tenir cette « chose ». Une pensée traversa son esprit :   « Il a besoin d’une mère, mais il n’est pas comme moi, comme un bébé ordinaire. Est ce que je pourrai m’occuper de lui ? Est-ce que ce n’est pas dangereux ? » La future mère dût lutter en pesant le pour et le contre au sujet de cet être minuscule et fragile. Finalement elle se décida, son instinct maternel prenant le dessus : « On verra bien, peut-être qu’il est comme nous, qu’ILS , sont comme nous. Qui sait ce que c’est, ce qu’ILS sont ? »

Se penchant un peu plus et saisissant la petite boule marron qui gesticulait en pleurant, elle tenta de le consoler. Il se calma et sourit, content d’avoir une nouvelle mère. Au loin, personne ne s’en était aperçu, une fumée âcre et noire empestant la mort s’élevait haut dans les cieux, venant des entrailles de la forêt dense. Revenant au village avec sa « trouvaille », elle avait quelques appréhensions quand à la façon dont les villageois et son homme accueilleraient cette créature humanoïde. Mais elle restait confiante, les gens de chez elles avaient du cœur, ils étaient chaleureux et les étrangers ne les dérangeaient guère. Mais qu’en serait-il de cette « chose » fragile ? Allaient-ils réagir intelligemment ? Sa « différence » serait-elle acceptée ou rejetée ? Comment allait-il être perçu par les autochtones ?

Marchant calmement, observant cet petite chose bouger et vivre, les pensées couraient dans se tête : « Il ne semble pas si différent de nous après tout. Si il lui est possible de parler comme nous il sera encore plus proche de ce que nous sommes. » Proche du village, se préparant psychologiquement à « l’affrontement », la jeune femme avança d’un pas décidé et résolu. « Il a besoin de moi, de nous tous. Peut-être a-t-il été abandonné ? Ou autre chose, mais quoi ? » Passant le portail en pierres du village, les habitant la saluèrent gentiment. Certains s’approchèrent avec curiosité, voyant qu’elle portait quelque chose dans son bras, à la manière d’une femme tenant un bébé. Accourant pour voir la « trouvaille » ils s’attroupèrent autour d’elle. La future mère parla de sa douce voie maternelle.

_Il a besoin de nous, il n’est pas comme nous alors il va falloir l’accepter comme il est sinon je quitterai le village.

Certains hochèrent la tête comprenant sans voir le bébé. D’autres émirent des sifflements ou soufflèrent d’exaspération. Il était hors de question que l’une des leurs ne les quitte même pour ce genre de motifs. Ils allaient donc devoir faire des efforts pour accepter cet être qu’ils n’avaient pas encore vus. Soulevant la soie, elle dévoila à tous et au grand jour, la créature humanoïde qui en guise de réponse à leurs visages surpris, sourit de joie. Certains émirent un raclement de gorge, d’autre sifflèrent une note pour exprimer leur étonnement. Voyant l’attroupement, le chef du village arriva sur les lieux et aperçut avec stupeur le bébé monstre dans les creux du bras de la jeune femme. Il parla.

_Julia, que signifie tout ça ?

_Je l’ai trouvé dans un berceau au bord de la rivière quand je faisais mon linge. Je ne le trouve ni laid ni beau, simplement différent de nous. Je le trouve presque mignon, ce n’est qu’un bébé, soyez indulgent, nous ne savons pas ce que c’est. Nous en apprendrons plus sur lui si nous le gardons.

L’homme joufflu à moustache fronça les sourcils, réfléchissant aux dires de la jeune femme. Une des femmes du village l’informa d’une nouvelle importante.

_Elle compte nous quitter si nous n’acceptons pas cette « chose »… ce « bébé » comme elle dit.

Le chef s’exprima de façon claire et précise. Il semblait outré, presque insulté que l’on vienne dire une telle chose. C’était presque comme si ils étaient intolérants ! Mais il comprenait parfaitement Julia et ne lui en voulait pas pour sa « menace ».

_Quitter le village ?! Il en est hors de question ! Nous ferons tous un effort pour accepter cet être parmi nous. Et il n’a personne sur qui compter, il est seul, je pense qu’on a le devoir de lui venir en aide. (Aux habitants) Je compte sur vous pour accepter ce « bébé ». Après tout (regarde le nouveau-né) il nous ressemble, ce ne sont que les yeux et la peau qui changent de couleur ça ne veut pas dire que c’est un monstre pour autant. Si son cœur est humain alors il est comme nous.

Les gens du village comprirent ce que le chef voulait leur faire comprendre, le forgeron acquiesça et d’un grande sourire fit comprendre son acceptation à sa manière.

_Si un jour il veut tenir une arme il pourra compter sur mes talents pour en avoir une.

La jeune femme le remerciât et fit de même pour tous, contente qu’ils acceptent cet être aux origines inconnues. Son homme qui avait entendu la conversation comprenait ce qui se passait et lui aussi, intérieurement, accepta d’élever cet être avec sa femme, comme son propre fils à compter d’aujourd’hui.

…

Le soir tombé les parents adoptif observèrent le petit être dormir dans son berceau. Ils en achèteraient un autre pour leur enfant qui ne tarderait plus à naître ce n'était qu'une question de jours. L'homme, guère plus âgé que sa compagne, eut un geste de tendresse en caressant du doigt la petite joue du bébé en sommeil. Il s'agissait d'un garçon.

_Comment va-t-on l'appeler ma chérie?

_Pourquoi pas... Arlan?

Il réfléchit un instant avant de donner son opinion et de proposer un autre nom. Il passa un bras affectueux sur l'épaule de sa femme.

_Non, Arlan ça ne le fait pas, trop... étrange, on ne va pas le mettre à part tout de même. Voyons voir... Zuren? Qu'est ce que tu en dis mon amour?

Elle secoua la tête positivement d'un air convaincu. Ce nom lui allait fort bien. Un nom que l'on pouvait donner à un humain dans la limite du possible.

_Oui, Zuren ça peut aller. Mais il faudra le nourrir donc vivement que notre enfant naisse.

_C'est un un garçon!

Dit-il en plaisantant mais d'un air décidé et sérieux. Comme si ça allait être un garçon à coup sûr.

_Et bien moi je te dis que ce sera une fille!

…

Des cris de vie provenant d'une chaumière simple faite de pierre et à la haute cheminée émettant une douce fumé blanche, une chambre chaudement éclairée par la lumière du soleil levant, et un bébé tout rose dans les bras d'une jeune mère aimante. Les contractions avaient débutées le soir même de la découverte du bébé non humain. Le petit Zuren qui dormait paisiblement se réveilla quelques heures plus tard. Il avait faim et comme n'importe quel humain il le fit comprendre par ses pleurs. Ayant désormais du lait comestibles elle donna le sein à son fils adoptif. Elle remarqua un détail qui ne lui avait pas sauté aux yeux. Ses peite oreilles pointues, des oreilles d'elfe. D'un geste elle indiqua à son homme le détail qu'il trouva intéressant et original.

De sa main délicate, Julia caressa la joue du bébé qui apparemment aimait son lait. Le soir tombé la jeune femme, aidée de son homme, se leva pour aller souhaiter une bonne nuit aux deux bébés dans leur lits respectifs. On leur en avait donné un pour le monstre que l'on désigna comme étant un démon, mais peut-être que ce serait un « bon démon. » Elle déposa un délicat baisé sur le front des ses enfants avant d'aller se coucher dans les bras de son homme. Les jours suivants tout allait bien, Zuren et sa sœur Jina se portaient bien. Deux vies nouvelles dans un monde impitoyable. Tandis que loin de là une guerre faisait rage, qu'une sinistre organisation tentait le tout pour le tout pour survivre, que le continent se faisait envahir par des créatures aux origines inconnues, les deux bébé dormaient paisiblement dans leur berceaux sous les yeux attentionnés de leurs parents.

Bon, je lirais ça quand je pourrais ! ^^ En attendant, je te conseille de publier sur Fanfiction.net ou FictionPress.com... Tu te crées un compte, et tu publies... Tu es sur de trouver plus de 20 lecteurs en tout cas, des correcteurs, etc...

Je sais je suis pas très fort en orthographe. Poster sur de tels sites j'aime pas trop je préfère les forum mais je verrai.

On seulement open office pour écrire...

Liibra a écrit:

Ah, toi aussi tu es plusieurs toi?

Super, on est deux (enfin, physiquement parlant). Mais, j'ai Dark-Liibra, Light-Liibra et Liibra-qui-s'en-fout. C'est surtout les deux premières qui parlent beaucoup, mais on sait jamais vraiment trop laquelle est laquelle.

Comment je fais pour pas mourir de rire à chaque fois que je te lis ?? xD

beaucoup d'entrainement Dadz xD

Hey, Ho, c'est mal de flooder! Je vais vous faire manger le plus gros gâteau au chocolat du monde et après vous faire marcher pieds nues dans les orties et vous couper une jambe avec un cuillère à soupe xd. Nan je déconne lol.

Qu'avez-vous pensés de l'introduction?^^

Bon, je crois que ça se confirme, Zuren, je ne suivrai pas ta fic, les histoires de démons ne m'intéressent pas. Rien contre toi, c'est juste une question de goût.

Le style n'est pas mal, on sent qu'il y a du travail derrière, mais attention aux quelques fautes. Il te faudrait peut-être un bêta pour ça.

Remarques :
Met peut-être une majuscule à l'Organisation, pour qu'on distingue le nom propre du nom commun.
Attention au sur-emploi du mot "douce", ou à l'utilisation trop abondante parfois d'adjectifs, comme dans la description de la rivière
La mère prend un peu rapidement la décision de le garder avec elle. Peut-être que sa sur-protection serait justifiée si il y avait eu une quelconque menace que le petit démon soit rejeté du village. Parce que menacer de partir comme ça alors que les habitants sont apparament la bonté incarnée, c'est exagéré.
La réaction des gens du village m'étonne d'ailleurs un peu, mais comme je ne connais pas l'univers dont est tiré ta fic, c'est peut-être normal. Réfléchis bien à toutes les réactions qu'une personne aurait normalement dans ce cas-là. Par exemple, pourquoi l'avis du mari n'est pas consulté, alors que c'est lui qui va l'élever ?
Détail parfaitement technique, mais quelques jours avant l'accouchement, une femme peut déjà fournir une alimentation au bébé. Ce n'est pas encore du lait (la "montée" arrive quelques jours après la naissance), mais du colostrum, un liquide extrêmement nutritif et pleins d'anticorps, que le bébé boit pendant cette courte période sans lait. Ta jeune Julia est donc déjà en mesure de le nourrir. Par contre, juste après la naissance, ce n'est pas du lait. (article Wiki pour votre culture à tous)


Voili voilou.
L'avis est court et peut sembler surtout critique, mais bon, ce n'est qu'une intro, et comme je te l'ai dit, le fond de l'histoire ne m'intéresse pas vraiment, donc je ne peux pas vraiment en parler.
En tout cas, continue !

Merci pour la critique je vais faire les modifications pour une V2. Merci aussi pour les conseils et l'information importante que tu m'as donnée sur les femmes enceintes. La V2 sera peut-être plus longue faut voir.^^

Il y a néanmoins beaucoup à travailler comme pour le "père adoptif".

Conscient que tu n'aimes pas les histoires de démons j'essairai d'en faire une mais je ne garantis rien là-dessus. Avec des loup-garous et des elfes noir ainsi que des humains en pleine époque médiévale. En espérant que ça te dise déjà plus que des démons.^^ Sachant que pour cette histoire j'ai prévu aussi une suite en style SF.^^

Mais bon, chaque choses en son temps je vais déjà voir pour celle-ci après l'autre. Autant j'aurai peut-être le temps de commencer la deuxième mais c'est pas sûr. Hélas. Je peine à trouver le temps de lire etc... ce qui est grisant car ça m'apporte pas mal de choses de lire.^^

Donc voilà merci bien et j'espère que pour les autres ça leur plaira etc... Et je vous souhait une bonne lecture pour la suite.^^

J'ai essayé de tenir compte des remarques en espérant de ne pas trop vous décevoir.^^



Introduction: (V2.1)




Un soleil de plomb frappait un village dans des contrés éloignées de l’organisation. Ils ignoraient tout des yomas, des claymores et de l’elle. C’est au bord d’une rivière que tout commença. Une eau cristalline et calme émettant une douce musique parcourait son lit, imperturbable. Une jeune femme au ventre arrondi chantait en nettoyant son linge, une panière à côté d’elle. Très jeune et charmante, elle avait une douce voix qui rivalisait avec le chant de l’eau. Un couinement de bébé l’interpella, l’arrêtant dans sa tâche quotidienne. Elle cessa tout mouvements et s’avança légèrement, tendant l’oreille, se mettant à genoux dans l’herbes verte et mœlleuse. Le petit cri de vie retentit de nouveau. Elle rangea son linge mouillé dans la panière.

Entendant ces pleurs, elle se releva sur ses deux jambes et mit la main devant les yeux comme pour voir plus loin. Un berceau était coincé dans un coin de la rivière entre deux touffes de hautes herbes. La jeune femme se dirigea rapidement dans sa direction. A mesure qu’elle approchait les détails se faisaient plus net, plus nombreux. Un panier en bois tressés, dedans des linceuls blancs, l’eau ruisselant à côté, faisant de petites vagues, puis des mouvements dans la soie fine et raffinée. La future mère à terme de grossesse se pencha péniblement, faisant attention à son ventre. Elle souleva délicatement la soie de sa fine main et découvrit avec étonnement le bébé pleurant dans le panier.

Des yeux jaunes brûlants de vie, des cheveux blancs soyeux, un petit corps de bébé ordinaire, une peau marron foncé, des ongles un peu épais et blancs légèrement pointus, il débordait de vitalité. D’abord effrayé par cette créature inconnue, la jeune femme prit sur elle-même et tendit les bras pour tenir cette « chose ». Une pensée traversa son esprit : « Il a besoin d’une mère, mais il n’est pas comme moi, comme un bébé ordinaire. Est ce que je pourrai m’occuper de lui ? Est-ce que ce n’est pas dangereux ? » La jeune femme dût lutter en pesant le pour et le contre au sujet de cet être minuscule et fragile. Finalement elle se décida, son instinct maternel prenant le dessus : « On verra bien, peut-être qu’il est comme nous, qu’ILS , sont comme nous. Qui sait ce que c’est, ce qu’ILS sont ? Il doit forcément y en avoir d’autres comme lui sinon il ne serait pas né. »

Se penchant un peu plus et saisissant la petite boule marron qui gesticulait en pleurant, elle tenta de le consoler. Il se calma et sourit, content d’avoir une nouvelle mère. Au loin, personne ne s’en était aperçu, une fumée âcre et noire empestant la mort s’élevait haut dans les cieux, venant des entrailles de la forêt dense. Revenant au village avec sa « trouvaille », elle avait quelques appréhensions quand à la façon dont les villageois et son homme accueilleraient cette créature humanoïde. Mais elle restait confiante, les gens de chez elles avaient du cœur, ils étaient chaleureux et les étrangers ne les dérangeaient guère. Mais qu’en serait-il de cette « chose » si fragile ? Allaient-ils réagir intelligemment ? Sa « différence » serait-elle acceptée ou rejetée ? Comment allait-il être perçu par les autochtones ?

Marchant calmement, observant cet petite être bouger et vivre, les pensées couraient dans sa tête : « Il ne semble pas si différent de nous après tout. Si il lui est possible de parler comme nous il sera encore plus proche de ce que nous sommes. » Proche du village, se préparant psychologiquement à « l’affrontement », la jeune femme avança d’un pas décidé et résolu. « Il a besoin de moi, de nous tous. Peut-être a-t-il été abandonné ? Ou autre chose, mais quoi ? » Passant le portail en pierres du village, les habitant la saluèrent gentiment. Certains s’approchèrent avec curiosité, voyant qu’elle portait quelque chose dans son bras, à la manière d’une femme tenant un bébé. Accourant pour voir la « trouvaille » ils s’attroupèrent autour d’elle. La future mère parla de sa douce voie maternelle.

_Il a besoin de nous, il n’est pas comme nous alors il va falloir l’accepter comme il est. Si vous ne l’acceptez pas, ce dont je doute, je verrai ce que je ferai (sous-entendant qu’elle partirait peut-être ce qu’ils comprirent.)

Certains hochèrent la tête comprenant sans voir le bébé. D’autres émirent des sifflements ou soufflèrent d’exaspération. Il était hors de question que l’une des leurs ne les quitte même pour ce genre de motifs. Ils allaient donc devoir faire des efforts pour accepter cet être qu’ils n’avaient pas encore vus. Soulevant la soie, elle dévoila à tous et au grand jour la créature humanoïde, qui, en guise de réponse à leurs visages surpris, sourit de joie. Certains émirent un raclement de gorge, d’autre sifflèrent une note pour exprimer leur étonnement.

Certaines femmes observèrent l’enfant, ne le trouvant ni laid ni beau, simplement différent. On commençait à commenter ce qui se passer, quelque petit commérage bénin circulèrent dans la foule. La jeune femme comprit qu’ils l’acceptaient, à leur manière. Regardant sa « trouvaille » elle lui sourit gentiment avec de l’affection. Sa décision était prise, elle allait l’adopter. Voyant l’attroupement, le chef du village arriva sur les lieux et aperçut avec stupeur le bébé monstre dans les bras de la jeune femme. Il parla.

_Julia, que signifie tout cela ?

_Je l’ai trouvé dans un berceau au bord de la rivière quand je faisais mon linge. Je ne le trouve ni laid ni beau, simplement différent de nous. Je le trouve presque mignon, ce n’est qu’un bébé, soyez indulgent, nous ne savons pas ce que c’est. Nous en apprendrons plus sur lui si nous le gardons.

L’homme joufflu à moustache fronça les sourcils, réfléchissant aux dires de la jeune femme. Une des femmes du village l’informa d’une nouvelle importante.

_Elle compterait nous quitter si nous n’acceptons pas cette « chose »… ce « bébé » comme elle dit.

Le chef s’exprima de façon claire et précise. Il semblait outré, presque insulté que l’on vienne dire une telle chose. C’était presque comme si ils étaient intolérants ! Mais il comprenait parfaitement Julia et ne lui en voulait pas pour sa « menace ».

_Quitter le village ?! Il en est hors de question ! Nous ferons tous un effort pour accepter cet être parmi nous. Et il n’a personne sur qui compter, il est seul, je pense qu’on a le devoir de lui venir en aide. (Aux habitants) Je compte sur vous pour accepter ce « bébé ». Après tout (regarde le nouveau-né) il nous ressemble, ce ne sont que les yeux et la peau qui changent de couleur ça ne veut pas dire que c’est un monstre pour autant. Si son cœur est humain alors il est comme nous.

Les gens du village comprirent ce que le chef voulait leur faire comprendre, le forgeron acquiesça et d’un grande sourire fit comprendre son acceptation à sa manière.

_Si un jour il veut brandir une épée il pourra compter sur mes talents pour en avoir une.

La jeune femme le remerciât et fit de même pour tous, contente qu’ils acceptent cet être aux origines inconnues. Son homme qui avait entendu la conversation comprenait ce qui se passait et lui aussi, intérieurement, accepta d’élever cet être avec sa femme, comme son propre fils à compter d’aujourd’hui. Toutefois, il prit sa dulcinée à part pour lui en parler.

_Ça va mon amour (l’embrasse tendrement) alors, tu as trouvé du bonheur ?

Elle lui montra le bébé de plus près en souriant de joie. Ils allaient en avoir un pourquoi ne pas en élever un autre même si ça allait être plus dur.

_Oui mon chéri, ce soir on lui trouvera un nom. Tu as vu mon arrivée et l’attroupement je suppose donc tu dois maintenant savoir pourquoi et ce qui se passe ?

_Effectivement oui, j’ai vu ça. Bon écoutes, je n’ai rien contre de l’élever mais nous ne savons rien sur lui, même pas comment il se nourrit.

Elle repoussa une mèche de cheveux roux micro ondulé d’une couleur splendide. Ses yeux bleu-vert nuancés de gris foncés pétillaient de joie. Elle répondit du tac au tac.

_Nous prenons bien du lait de vache on verra bien avec mon lait. Il a l’air très proche de nous je ne pense pas que ça posera de problème même si ce n’est que théorique.

_Bien, on essaiera, enfin, TU essaiera.

Il fixa le petit bout de chou tout marron aux yeux couleur or foncé brillant de superbe éclat scintillant et s’approcha de lui.

_Je sent que tu vas être bien avec nous. Dorénavant tu seras notre fils et nous t’élèverons comme tel.

…

Le soir tombé les parents adoptif observèrent le petit être dormir dans son berceau. Ils en achèteraient un autre pour leur enfant qui ne tarderait plus à naître ce n'était qu'une question de jours. L'homme, guère plus âgé que sa compagne, eut un geste de tendresse en caressant du doigt la petite joue du bébé. Il s'agissait d'un garçon.

_(Tout bas)Comment va-t-on l'appeler ma chérie?

_(Sur le même ton)Pourquoi pas... Arlan?

Il réfléchit un instant avant de donner son opinion et de proposer un autre nom. Il passa un bras affectueux sur l'épaule de sa femme.

_Non, Arlan ça ne le fait pas, trop... étrange, on ne va pas le mettre à part tout de même. Voyons voir... Zuren? Qu'est ce que tu en dis mon amour?

Elle secoua la tête positivement d'un air convaincu. Ce nom lui allait fort bien. Un nom que l'on pouvait donner à un humain dans la limite du possible.

_Oui, Zuren ça peut aller.

_(Parle du bébé à venir)C'est un garçon!

Dit-il en plaisantant mais d'un air décidé et sérieux. Comme si ça allait être un garçon à coup sûr.

_Et bien moi je te dis que ce sera une fille!

…

Des cris de vie provenant d'une simple chaumière faite de pierre et à la haute cheminée émettant une douce fumé blanche, une chambre chaudement éclairée par la lumière du soleil levant, et un bébé tout rose dans les bras d'une jeune mère aimante. Les contractions avaient débutées le soir même de la découverte du bébé non humain. Le petit Zuren qui dormait paisiblement se réveilla quelques heures plus tard. Il avait faim et comme n'importe quel humain il le fit comprendre par ses pleurs. Elle donna le sein à son fils adoptif. Julia remarqua un détail qui ne lui avait pas sauté aux yeux. Ses petites oreilles pointues, des oreilles d'elfe. D'un geste elle indiqua à son homme le détail qu'il trouva intéressant et original.

De sa main délicate, Julia caressa la joue du bébé qui apparemment aimait son lait. Le soir tombé la jeune femme, aidée de son homme, se leva pour aller souhaiter une bonne nuit aux deux bébés dans leurs lits respectifs. On leur en avait donné un pour le monstre que l'on désigna comme étant un démon, mais peut-être que ce serait un « bon démon. » Elle déposa un délicat baisé sur le front des ses enfants avant d'aller se coucher dans les bras de son homme. Les jours suivants tout allait bien, Zuren et sa sœur Jina se portaient bien. Deux vies nouvelles dans un monde impitoyable. Tandis que loin de là une guerre faisait rage, qu'une sinistre organisation tentait le tout pour le tout pour survivre, que le continent se faisait envahir par des créatures aux origines inconnues, les deux bébés dormaient paisiblement dans leur berceaux sous les yeux attentionnés de leurs parents.